ALEFA

Aléfa a un visage de carte ancienne.... Tel un hymne à la vie , Alefa salue son seul parent survivant
dans un monde bouleversée . Nourrie du dedans, à la limite du gouffre, au bord des chagrins sans
retour, des déchirures et de l’extrême chute....Alefa ondule sur ce qui nous meut
Aléfa se courbe, s’agenouille, comme pour écouter un chant, une plainte qui monterait des fins de
fonds de la terre
ALefa accueille le silence, ferme les yeux et le saisit au plus profond,
Et toi tu le rumines ....
Aléfa, c‘est une femme tout simplement, sans interdit, fonçant dans l’obstacle ou dans sa
coquille....Aléfa a le gout du mouvement, le culte des êtres dans une humanité fragile.
Alefa nous invite à une traversée poétique dans la fragilité des équlibres entre terre et ciel brulé.

 

De virginie lavenant

interprété par virginie lavenant

texte: Virginie Lavenant

musique: Mota soa et Wilfried Nakeu

images: Mota Soa, virginie Lavenant et Wilfried Nakeu